A force de recevoir régulièrement les mêmes questions par mail et sur ma chaîne Youtube, je vous propose aujourd’hui la centralisation de mes réponses dans cette rubrique FAQ (Frequently Asked Questions).
La liste s’allongera au fil de vos questions donc n’hésitez pas à parcourir cette page ainsi que mes conseils et guides aquaponiques avant de me contacter pour me poser votre question.
Vous pouvez également poser vos questions publiquement sur le forum ici : Forum Aquaponie.
Questions générales
En aquaponie, les poissons apportant les nutriments nécessaires aux plantes grâce à la nitrification de leurs déjections par les bactéries, le processus est autonome et se répète indéfiniment.
L’aquaponie contrairement à l’hydroponie est un vrai écosystème.
Absolument.
En effet, même si la culture hors-sol n’est pas considérée comme biologique et ne peut obtenir ce label, votre système reste néanmoins biologique dans le sens organique. Quel aquaponiste sensé mettrait des produits chimiques, des antibiotiques ou d’autres additifs artificiels dans son système aquaponique en sachant qu’il retrouvera ces éléments toxiques en mangeant son poisson et ses légumes issus de son système « pollué ». Si vous utilisez des pesticides, engrais raffinés ou autres stimulants de croissance pour vos plantes, cela va nuire à vos poissons. Vos plantes sont cultivées par des déchets animaux « compostés ». L’aquaponie fonctionne aussi bien que la nature le permet. La culture aquaponique reposant sur un écosystème, si vous ne le respectez pas vous n’aurez pas de résultats et c’est en ce sens que la plupart des systèmes aquaponiques sont biologiques et respectueux de l’environnement, grâce entres autres aux économies d’eau de 95% que l’aquaponie permet.
Il y en a beaucoup !
Le jardinage aquaponique fait entrer la pisciculture dans votre maison. Vous pouvez maintenant manger du poisson frais pêché quelques minutes auparavant.
Le jardinage aquaponique utilise permet une économie de 95% d’eau comparé au jardinage traditionnel.
Le jardinage aquaponique est deux à trois fois plus productif sur une base d’un mètre carré que le jardinage traditionnel.
Le jardinage aquaponique est exempt de mauvaises herbes, des préoccupations d’arrosage et de fertilisation. Et parce qu’il les bacs de culture sont à hauteur d’homme, il n’y a pas de mal de dos.
Le jardinage aquaponique est obligatoirement biologique. Les déchets de poissons fournissent toute la nourriture dont les plantes ont besoin. Des pesticides seraient nocifs pour le poisson. Hormones, antibiotiques et autres additifs donnés aux poissons seraient nuisibles pour les plantes. Et le résultat est tout aussi savoureux que les produits biologiques traditionnels.
Le jardinage aquaponique ne consomme pas d’énergie pour transporter des produits hors-saison vers des marchés éloignés à travers le monde parce que vous serez en mesure de choisir votre propre produit à partir de votre propre jardin dans votre propre maison ou appartement (voir kits aquaponiques).
Questions à propos du cycle de l’aquaponie
Température – Comme la plupart des micro-organismes, les bactéries nitrifiantes se multiplient plus rapidement dans des conditions plus chaudes. Leur température optimale se situe entre 25-30 ° C. À 18 ° C leur taux de croissance est diminué de 50%. À 10.8 ° C, il diminue de 75%, et s’arrête à 4 ° C. La mort des bactéries est inévitable entre <0 ° C et >49 ° C.
PH – Les bactéries préfèrent un niveau de pH entre 7 et 8. En savoir plus
Oxygène – Les bactéries nitrifiantes sont aérobies et vont se multiplier beaucoup plus rapidement dans des conditions hautement oxygénées. Même si vous cyclez sans poissons, assurez-vous d’avoir suffisamment d’oxygène dans l’eau de votre système, comme vous le feriez si les poissons étaient là. Pensez aux bactéries comme un organisme vivant qui nécessite de l’oxygène dans votre système.
Ajout de bactéries – Vous pouvez « booster » le processus en ajoutant des bactéries à partir d’une colonie existante.
Tout d’abord, vous et vos poissons aurez probablement beaucoup moins de stress parce que vous n’essayerez pas de garder quelqu’un vivant pendant le processus. Deuxièmement, vous pouvez contrôler plus précisément combien d’ammoniac est ajouté à votre système pendant le processus. Par exemple, si vous voyez que votre niveau d’ammoniac est descendu jusqu’à 8 ppm, mais que les nitrites ne se sont pas encore manifestés, arrêtez juste d’ajouter de l’ammoniac pour quelques jours et attendez que les bactéries se rattrapent. Vous ne pouvez pas faire cela avec les poissons !
Le résultat pratique de cela est que, avec un cycle sans poissons, vous pouvez remplir pleinement votre réservoir une fois le cycle complété, plutôt qu’augmenter progressivement comme il est recommandé lors d’un cycle avec des poissons. Cela est particulièrement bénéfique pour ceux qui ont des poissons agressifs ou carnivores parce qu’ils sont moins susceptibles d’attaquer les autres s’ils sont tous introduits dans le réservoir en même temps. En savoir plus
Pour faire leur test, la plupart des jardiniers aquaponiques utilisent un kit classique d’aquarium. Ce kit est facile à utiliser, est peu coûteux, et est conçu pour le suivi du processus de cycle dans les systèmes avec poissons.
Vous aurez également besoin d’un thermomètre submersible pour mesurer la température de votre eau. La température affecte à la fois le cycle de votre système et la santé de vos poissons et plantes une fois que vous êtes opérationnel. En savoir plus
Le cycle commence lorsque vous (ou votre poisson) ajoutez de l’ammoniac à votre système aquaponique. L’ammoniac (formule chimique NH3) est un composé de d’azote et d’hydrogène. Il peut provenir soit de vos poissons soit d’autres sources. L’ammoniac est toxique pour les poissons et peut les tuer sauf s’il est dilué à un niveau non toxique ou converti en une forme moins toxique d’azote. En outre, l’azote sous forme d’ammoniac n’est pas facilement absorbé par les plantes. Donc peu importe à quels niveaux se trouve l’ammoniac dans votre réservoir à poissons ; vos plantes ne pourront pas obtenir beaucoup de nutriments de lui.
La bonne nouvelle est que l’ammoniac attire les nitrosomonas, la première des deux bactéries nitrifiantes qui sont présentes dans l’air, qui vont peupler les surfaces de votre système. Les bactéries nitrosomonas vont convertir l’ammoniac en nitrites (NO2). Ceci est une étape nécessaire dans le processus du cycle de culture aquaponique. Toutefois, les nitrites sont encore plus toxiques que l’ammoniac ! Mais il y a de bonnes nouvelles, car la présence de nitrites attire les bactéries nitrospira qui vont convertir les nitrites en nitrates, qui sont généralement sans danger pour les poissons et qui constituent une nourriture excellente pour vos plantes.
Une fois que vous avez détecté les nitrates dans votre eau et une concentration suffisante (0.5 ppm) d’ammoniac et de nitrites, votre système sera entièrement cyclé et votre aventure aquaponique aura officiellement commencé ! En savoir plus
Questions à propos des poissons
Pour des poissons omnivores, l’alimentation nécessite moins de protéines environ 32 %. Les poissons les plus jeunes exigent davantage de protéines que les poissons matures.
Une fois que l’eau de votre système aquaponique redevient claire, vous pouvez augmenter progressivement les niveaux d’alimentation tout en respectant ce créneau des cinq premières minutes. Vous pourrez commencer à les nourrir deux à trois fois par jour. À titre indicatif, un tilapia d’âge mûr consomme généralement environ 1 % de son poids par jour tandis que les alevins peuvent consommer jusqu’à 7 %.
Ne pas mélanger les poissons carnivores avec les poissons omnivores et herbivores sous peine de voir les omnivores et herbivores servir de repas aux carnivores. Nous avons pu constater que les tilapias, les poissons rouges, les carpes et les carpes koï arrivent à cohabiter dans le système aquaponique, c’est même mieux quand il y a plusieurs espèces ensemble. Nous vous invitons à lire notre article pour en savoir davantage.
Questions à propos des plantes en aquaponie
Une des premières règles sur la gestion des ravageurs et la recherche constante d’insectes nuisibles. Vous devrez ensuite identifier quels sont ces insectes et ce que vous voulez faire avec. La plupart des insectes et notamment les pucerons, peuvent être éliminés simplement en pulvérisant un jet d’eau sur vos plantes. Si vos plantes sont encore petites, vous pouvez essayer de les enlever et de les laisser tremper dans votre bassin pendant au moins 15 minutes. Cela va noyer les insectes et fournir un délicieux repas à vos poissons. Attention néanmoins à ce qu’ils ne dévorent pas la plante avec 🙂
Si malheureusement aucune de ces techniques ne fonctionne, nous vous recommandons d’utiliser des préparations et décoctions organiques. Évitez bien entendu tout traitement antiparasitaire non organique ainsi que des produits organiques contenant du Neem et du Pyrèthre. Ces deux éléments sont toxiques pour vos poissons. Quel que soit le spray que vous utilisez, évitez de le faire au-dessus du réservoir à poissons. Le mieux reste le pulvérisateur avec du savon noir dilué, du citron ou bien de l’huile d’olive… ou encore purins et macérations de tabac par exemple.
pH en aquaponie
Vous devez absolument éviter l’acide citrique qui est un antibactérien. Il est important de garder à l’esprit que le changement de pH doit se faire progressivement car s’il est rapide, cela peut être nocif pour vos poissons. En savoir plus
1) Acheter un kit de test KH pour savoir quels sont vos niveaux de carbonate.
2) Si vous êtes au-dessus de 4 KH, alors vous êtes bien pour le moment. Assurez-vous d’effectuer des tests chaque semaine. Rappelez-vous que lorsque votre système arrivera à maturité, il va créer de l’acide nitrique en quantité et vos niveaux KH vont baisser au fil du temps.
3) Si vous approchez d’un KH de 4 ou moins, nous recommandons d’ajouter du bi-carbonate de potassium à votre système à un taux de 2 ½ cuillères à café (12 ml) par 400 litres d’eau du système pour chaque niveau de KH que vous souhaitez augmenter.
Tout d’abord, tandis que vos poissons peuvent généralement s’adapter à des niveaux de pH qui sont en dehors de leur niveau optimum, ils ne peuvent pas gérer des changements rapides ou bien des niveaux extrêmes. Nous recevons beaucoup de mails de personnes nous demandant des conseils suite à la mort aléatoire de leurs poissons. La première chose que nous faisons est de leur demander de vérifier à plusieurs reprises le niveau de pH. En second lieu, nous leur demandons de tester les niveaux KH de leur eau et la plupart du temps, le niveau est en dessous de 4.0
La seconde raison est que le maintien d’un tampon est critique pour la santé bactérienne. Si vous arrivez au point où les carbonates du système sont complètement épuisés, le pH de votre système peut diminuer rapidement. Si c’est le cas, vos bactéries bénéfiques mourront rapidement et la filtration biologique va complètement s’arrêter.
Pour finir, si votre tampon n’est pas idéal, vous aurez besoin de gérer le pH quotidiennement. S’il n’y a pas de tampon pour compenser l’acide nitrique dans votre système, votre pH pourra baisser dangereusement car il y aura un gros manque de carbonates ce qui sera dangereux pour vos poissons et vos bactéries. Cela peut vite devenir très dur à gérer sans tampon.
« L’eau de mon robinet a un pH de 8 (ou plus) et je ne parviens pas à le réduire de façon fiable. Que dois-je faire ? »
« Le pH dans mon système est en baisse constante et je dois ajouter quelque chose pour le remonter presque quotidiennement. Est-ce normal ? »
La plupart des mystères de pH dans les systèmes aquaponique se résument à la dureté de votre eau que vous mettez dans votre système. Cette « dureté » détermine le pouvoir tampon de l’eau. Laissez-moi vous expliquer.
La plupart des eaux ont un certain niveau de sels minéraux dissous en elles, exceptée l’eau purifiée ou l’eau filtrée. Parmi ces sels dissous, il y a certains minéraux spécifiques qui affectent fortement le pH de votre eau. La concentration de ces minéraux dans votre eau est souvent décrite par le terme « dureté ». Plus la concentration de ces minéraux est élevée, plus votre eau et dure. La dureté de l’eau affecte en général le pH. Mais votre tampon agit comme une éponge invisible qui absorbe l’acide et le basique qui se trouve dans votre système.
Prenons un exemple : disons que vous avez un pH de 8.0 dans votre système et que vous souhaitez le ramener à 7.0. Vous commencez par ajouter un acide, et encore, et encore, et vous vous apercevez que cela ne change rien. Tout d’un coup, votre pH dégringole. Que s’est-il passé ? Vous avez eu un fort tampon, ce qui signifie qu’il y avait beaucoup de KH dans votre système qui a fait tout dégringoler. Une autre façon d’imaginer la chose, est de penser à cette éponge qui s’est tout simplement remplie.
Plus votre niveau KH est élevé, plus votre système sera résistant aux modifications de pH. Avoir un système avec des niveaux supérieurs de dKH peut être bénéfique dans un système entièrement cyclé parce que comme vous vous en souvenez, le processus de nitrification produit de l’acide nitrique qui fait baisser le pH dans un environnement sans tampon. La règle de base est qu’un taux de dKH <4 signifie que vous ne disposez pas d’une capacité de mémoire tampon suffisante pour les variations rapides et fréquentes de pH.
dKH = dureté de carbonate dissous.
Bonne nouvelle ! Un pH légèrement élevé n’est généralement pas un problème. Lorsque vous démarrez un nouveau système aquaponique et que vous le cyclez, vous encouragez les bactéries nitrifiantes bénéfiques à s’installer dans votre système. Le processus est entièrement focalisé sur les bactéries et les poissons et que chacun d’eux préfère un pH plus élevé. Cela signifie simplement qu’une eau qui a un pH légèrement supérieur à 7.0, contribue effectivement à obtenir un système cyclé. Une fois que le cycle de l’azote est pleinement établi, et que vous pouvez ajouter les plantes dans votre système, vous observerez généralement une baisse de votre pH au fil du temps. Pourquoi ? Parce que le cycle de l’azote produit de l’acide nitrique qui va entraîner naturellement une baisse de votre pH.
Mais il y aura des moments, surtout lorsque votre système est jeune, où vous aurez besoin d’intervenir pour baisser le pH. À l’inverse, sur le long terme, vous aurez régulièrement besoin d’augmenter le pH.
Les vers et organismes en aquaponie
Cela nous ramène à la raison la plus importante pour laquelle les vers se développent au sein de la culture aquaponique : l’oxygène. Lorsque l’on voit remonter les verts à la surface après une grosse pluie, ce n’est pas dû à un surplus d’eau. Mais simplement parce que l’eau a chassé l’oxygène du sol. En aquaponie cependant, les inondations et les vidanges renouvelleront l’oxygène dans les lits de culture car l’eau qui circule dans le système est hautement oxygénée.
Questions sur les lampes horticoles de croissance
En supposant que vos plantes n’auront pas la lumière du soleil, un éclairage DHI (décharge de haute intensité) de 1000 W couvrira environ 2m² de zones de croissance. À 600 W, 1.7m² , un de 400 W couvrira 1.2 m², pour terminer un éclairage de 250 W couvrira 1 m².
Pour une grande surface, la lumière directe sera bénéfique. Par contre pour les plantes placées à l’extérieur de la région principale de culture, la lumière sera étirée et pliée, un phénomène que l’on appelle phototropisme. Gardez à l’esprit ces zones de couverture lorsque vous utilisez plusieurs appareils. On obtient les meilleurs résultats en utilisant des zones de chevauchement de couverture.
Des réflecteurs à refroidissement par air vous permettent de placer des ampoules à puissance élevée plus près de vos plantes. Lorsque vous élevez la lumière et que vous l’éloignez de vos plantes, vous devez savoir que l’efficacité de l’éclairage sera considérablement réduite.
Lors du montage de vos luminaires, vous devez prendre en compte le type de plante et sa taille lorsqu’elle se développera. Vous voulez garder la lumière aussi proche que possible sans pour autant la brûler. Utilisez la technique de la paume de la main car si cette chaleur est confortable pour vous, cela veut dire que votre lampe est à une distance de sécurité pour vos plantes. Pour les plantes à croissance rapide, vous aurez peut-être besoin de vérifier la hauteur de vos suspensions de manière régulière au risque de brûler vos plantes gravement.
Un système d’éclairage moyen augmentera votre facture d’électricité d’environ une quinzaine d’euros par mois. La quantité exacte dépendra bien évidemment de la puissance totale de votre système et du nombre d’heures d’exposition.
L’avantage des lampes à induction est qu’elles sont économes en énergie car l’ampoule ne doit être remplacée qu’après une très longue utilisation. Certains appareils sont livrés avec une garantie de 10 ans. Ces lampes sont capables de convertir jusqu’à 95 % de la puissance en lumière utilisable. Elles sont plus onéreuses que les luminaires T5 et HID mais restent moins chères que les LED tout en étant très efficaces pour la croissance de vos plantes.
Les LED (Light Emitting Diodes ou Diodes électroluminescentes) sont largement considérées comme l’avenir de l’éclairage des plantes parce que les fabricants de LED arrivent à contrôler de manière idéale le spectre de la lumière. Elles sont économes en énergie car une grande partie de la puissance se traduit par une énergie lumineuse utilisable. Mais le plus gros avantage des LED, est que les ampoules ne doivent jamais être remplacées.
Les lampes T5 fournissent le spectre idéal pour la croissance des plantes. Les taux de photosynthèse de pointe sont de 435 nm et 680 nm. Une lampe 6500K T5 a une distribution spectrale avec des pics d’intensité relative à 435 nm et 615 nm. Les lampes T5 assurent la santé et la vigueur des plants et des boutures. Elles permettent un meilleur développement des racines comparé à d’autres sources d’éclairage. Bien que l’éclairage T5 soit excellent pour commencer avec des graines et des boutures, il est aussi capable de produire assez de lumière pour la croissance à terme. En raison de leur production de chaleur minimale, les lampes T5 peuvent être placées juste au-dessus du couvert végétal ce qui maximise la réponse photosynthétique.
Le Lumen est une mesure de la lumière émise. Elle se réfère à la quantité de lumière émise par une bougie qui tombe sur 30 cm² de surface situés à une distance de 30 cm de la bougie. Traditionnellement, les lumens ont été la référence pour définir la capacité des lampes à cultiver des plantes ; ce qui signifie plus de brillance de la lampe, mieux c’est pour la plante. Cependant, des études ont montré qu’une lampe à large spectre de couleurs va être plus efficace qu’une lampe à haut rendement lumineux, surtout quand il s’agit de la croissance des plantes.
Le spectre visible perçu par les humains n’est que la lumière blanche. Mais à l’aide d’un prisme, nous voyons que la lumière blanche est en fait séparée en un spectre de couleurs allant du violet au bleu, vert, jaune, orange et rouge. Les plantes utilisent du bleu au rouge comme source d’énergie pour la photosynthèse.
Top toujours dans la place ? je n’avais pas vu le site avec un coup de jeune !
Bonne continuation.
Question : ici, très difficile, de se procurer des billes d’argiles , Mais la bour de coco , sa ne manque pas ! es-ce-que ? je pourrais l’utiliser , pour tous mes systèmes de culture ? même en tours verticale ? « avec du filet , fin ? Merci des conseils ! CJL.
Faut-il régulièrement envoyer un échantillon d’eau en labo pour contrôler qu’il n’y a pas un kwak quelque part ?
merci pour toutes tes superbes infos gratuites…
petite question :
il vaut mieux opter pour le syphon cloche ou le syphon en U???
quelles surfaces pour une petite activité commerciale
merci